jeudi 20 octobre 2005
et c'est là où je voulais en venir
Ryolo Segiguchi : " Si on avait conservé le livre en rouleau, la pratique de la lecture aurait été tout à fait différente. Le fait que le livre s’ouvre, est agrafé, et que l’on ne peut pas en détacher les pages, a imposé de manière inconsciente une certaine écriture, une certaine conception du livre et du poème ", entretien, Revue Action restreinte, numéro 2.
Le livredestempsnouveaux suppose donc une rupture radicale avec l’objet-livre lui-même.
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