J'aime ce titre de Pierre Henry et de Michel Colombier, en ce qu'il oppose la messe qui célèbre toujours le futur, le futur apprécié par l'Eglise étant d'abord après la mort (celle du Voyage de P. Henry, de 1967, réalisé d'après le livre des morts tibétain), et cette messe nouvelle, qui se fout du futur post mortem, et célèbre les divers volumes du présent.
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